Témoignage maman entrepreuneuse

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Temps de lecture : 15 minutes

UN CHOIX DE CARRIÈRE

Tout a donc commencé en 2004. Je venais de démissionner d’un poste d’Assistante Commerciale que j’occupais depuis 3 ans déjà et qui me plaisait bien mais…

… il y avait tous ces à-côtés qui me gênaient : 3 heures de transport par jour aller-retour ; des horaires exécrables du genre 8h-18h avec une pause déjeuner de 2 heures (trop long à mon goût) ; ensuite le standard téléphonique qu’il fallait tenir durant ma pause déjeuner. Je t’assure que cette pause n’en était pas une, car c’était le moment où le téléphone sonnait le plus ; et pour terminer en beauté, je n’avais aucune possibilité d’évolution.

Un jour, je me suis dit que si je voulais avoir un enfant, ce ne serait pas possible avec autant de contraintes et de stress. La perspective de devoir courir tous les matins très tôt avec un bébé à déposer chez une nourrice ou à la crèche et de devoir en fin de journée cavaler en sens inverse en espérant arriver avant la fermeture de la crèche ou pas trop tard chez la nourrice, était impensable.

Donc, me voilà en train d’envoyer des courriers de motivation un peu partout : banque, assurance, société des eaux, etc. Surtout des sociétés connues…tant qu’à faire !

Mon entourage m’encourageait à tenter également dans les Industries Électriques et Gazières. Mais, cela ne me disait rien. Aucune attirance et puis je ne me voyais pas travailler là-dedans. Je l’ai quand même fait…. à reculons et… en dernier.

Devine quoi ? J’ai reçu des courriers de refus de la part de toutes les sociétés avec lesquelles je voulais travailler. Eh oui ! Et les seuls qui m’ont répondu favorablement furent…. les Industries Électriques et Gazières!

J’ai donc atterri dans la Branche Commerce en qualité de Conseiller Clientèle.

Un poste à l’opposé de ce que j’étais à ce moment-là : timide, réservée, introvertie, pas sûre de moi, pas du tout à l’aise avec la partie commerciale et la vente car bien entendu, je n’avais aucune formation ni maîtrise dans ce domaine.

Et là, je vais devoir me mettre à vendre des services, répondre au téléphone durant toute la journée, être challengée sur mes résultats de « vendeuse-commerciale ».

Et le détail qui tue : une année de formation rémunérée = un engagement moral de 3 ans au service du groupe…en théorie. Parce qu’en pratique, ce n’est pas du tout ce qui s’est passé.

UN APPRENTISSAGE UNIQUE

Après la déception mêlée à finalement de la joie (imagine donc, un grand groupe qui m’accepte quoi !), la réalité. Quand on n’a pas un tempérament de commercial, qu’on n’y aspire pas du tout, il y a des postes difficiles à occuper.

Sauf que je me retrouvais propulsée à un poste en première ligne face aux clients, et face à une équipe de personnes pour la plupart à l’aise avec la vente et qui avaient de bons résultats. Pas le choix, il fallait apprendre, se former, et s’affirmer.

J’ai eu de la chance de tomber sur des collègues super avec qui partager cette aventure. Et finalement, ça a été des années très riches en apprentissage d’un point de vue professionnel bien sûr, mais aussi humain tout simplement !

C’est là que j’ai appris énormément sur les rouages et la technique de la gestion clientèle.

LE DÉBUT DE LA FIN

Donc là, tu te demandes peut-être pourquoi je n’y ai pas fait carrière. Eh bien…

Si tu ne connais pas du tout le monde du travail sur un plateau téléphonique, tu vas découvrir quelques facettes de l’envers du décor. Car oui, il y a des contreparties assez… particulières.

Il faut pouvoir s’accrocher et avoir les nerfs solides pour tenir dans le brouhaha quotidien quand plusieurs personnes sont au téléphone en même temps….pendant des heures.

Ensuite, il y a les objectifs qu’on ne peut atteindre ou même approcher à moins de tomber dans le piège des ventes « forcées ». Ce que je n’ai jamais voulu faire par valeur et conscience morales.

Sans oublier les clients désagréables, insultants et exigeants. Heureusement que plusieurs sont accueillants, accommodants et reconnaissants.

Et enfin, l’infantilisation, la pression, le « flicage » (surveillance accrue même pour aller aux toilettes) …la liste est longue mais je vais te l’épargner.

J’aurais pu évoluer en restant à la clientèle. Mais ce n’était pas mon délire. J’attendais la fin de mon engagement moral pour postuler dans une autre branche tout en restant, bien entendu au sein du même groupe. Car en termes de métier, il y a pléthore.

Mais ce que je ne savais pas et que j’ai appris à mes dépens, c’est qu’on entre avec une très grande facilité à la Branche Commerce mais on galère énormément pour en sortir.

Au bout de 3 ans, j’avais fait le tour du poste, je connaissais mon métier parfaitement et j’étais devenue à l’aise dans la vente. Mais, je m’ennuyais, je voulais apprendre, découvrir, vibrer pour autre chose.

Je travaillais près de chez moi, donc à ce niveau, ça allait mais j’ai vite compris que l’épanouissement professionnel ne serait pas possible.

J’ai commencé petit à petit à aller travailler à reculons. Plus envie de m’investir en sachant qu’en face mes managers m’utilisaient, se servaient de moi et faisaient la sourde oreille sur ce que moi je désirais et sur mon mal-être au travail. 

Le contraste, c’est qu’ils m’encourageaient et me répétaient que mes résultats étaient très bons, de poursuivre ainsi mais en réalité, j’étais coincée au même poste avec le même salaire et sans évolution mais surtout incapable d’obtenir gain de cause alors que j’avais intellectuellement tous les arguments qu’il fallait pour en finir avec le manque de reconnaissance de ma hiérarchie.

Je me sentais piégée dans mon poste et plus le temps passait, plus je ressentais que ce piège se refermait sur moi. Aucune possibilité de sortie. Je voyais des nouveaux arriver et évoluer. Moi, je stagnais. Ce qui me rassurait, c’est que je n’étais pas la seule dans le cas, mais bon, ce n’était pas suffisant.

Je n’avais plus du tout aucune clarté sur mon projet professionnel. J’en étais arrivée à douter de moi, de mes capacités, de mes compétences et surtout de ce que j’avais vraiment envie de faire de ma carrière. 

J’en perdais le sommeil à passer des nuits à angoisser à l’idée que le lendemain il fallait que j’y retourne. Et quand j’allais travailler, c’était avec la boule au ventre. J’étais en train de sombrer sans m’en rendre compte dans une dépression.

Et pour couronner le tout, à la même période, je me suis retrouvée mère célibataire avec un bébé d’un an après une relation de 9 ans.

De fortes douleurs dorsales ont fait leur apparition et ont duré au moins trois longues années. Je passais mon temps chez le médecin, en arrêt de travail et chez le kiné.

A quoi ça rime tout ça ? Passer une vie à aller au travail à reculons ? Faire des choses qui n’ont aucun sens à mes yeux, vivre dans l’immobilisme (tu sais quand tout le monde se satisfait de l’état présent des choses, que tout le monde le subit, mais que rien ne change), dans l’ennui le plus profond ?

Je ne veux pas cracher dans la soupe, et ça peut très bien convenir à certains. Mais clairement, ce n’était pas fait pour moi !!!

Je sentais et je réalisais que le moment était venu de me secouer et de me bouger pour prendre enfin une décision ferme pour évoluer dans ma carrière et redonner du sens à ma vie dans un environnement qui correspondrait vraiment à mes valeurs.

C’était le moment de faire quelque chose pour avoir la carrière sur-mesure qui me rendrait fière de moi à la fois en tant que femme, en tant que maman et plus tard en tant qu’épouse, car ma famille et mes proches méritent de me voir heureuse dans mon métier.

Et par-dessus tout, je mérite d’être heureuse dans ma carrière !

ME FORMER : UNE NÉCESSITE

Je regardais souvent les annonces de postes interne dans le groupe et ses filiales. Je recherchais un poste d’Assistante. Mais il fallait avoir au moins le BTS. Je n’avais que le niveau après avoir suivi la formation de deux ans quand j’étais scolarisée. Mais, cela n’était pas reconnu dans ce groupe. Il faut avoir le diplôme. Mince !

Il fallait absolument que je le repasse, coûte que coûte. C’était une question de vie ou de mort maintenant. Il n’était pas question que je reste à ce poste de Conseiller Clientèle jusqu’à la retraite !

J’ai donc effectué toutes les démarches nécessaires et me suis inscrite au Greta pour préparer le BTS d’Assistante de Gestion PME-PMI dans le cadre d’un Congé Individuel de Formation. Après toutes les réformes qu’il y avait eu au sein de l’Éducation Nationale, c’était le seul qui se rapprochait davantage du BTS d’Assistante de Direction que j’avais préparé quand j’étais encore à l’école.

Quelle bouffée d’air ! Le fait de se retirer du monde professionnel pendant quelques mois et de faire autre chose, il n’y a pas mieux !

Pourtant, rien n’a été facile.  Ces 9 mois de formation intense ne furent pas de tout repos. Reprendre des études après avoir quitté le cursus scolaire depuis une vingtaine d’années, quel challenge ! Je n’avais rien à perdre mais tout à gagner donc je me suis accrochée et j’ai obtenu mon diplôme.

De retour à mon poste, je n’ai eu aucune reconnaissance de mon nouveau diplôme et donc aucune revalorisation de mes fonctions. Mais, je pouvais enfin postuler. Et, je n’ai pas traîné pour le faire. 

Tout aurait pu être simple finalement. Mais non… j’ai mis quasiment un an à obtenir mon autorisation pour partir. Ouf !

Finalement, j’ai passé 11 ans au poste de Conseiller Clientèle avant de pouvoir occuper un poste qui me corresponde davantage.

J’ai tourné une page pour passer à l’assistanat à 100%.

Coup de bol, mon nouveau poste était près de chez moi ! Et, surprise, j’étais à la fois l’Assistante du Chef d’Agence du site sur lequel j’allais travailler mais aussi celle du Chef de l’état-major.

Je revivais, j’étais autonome, je gérais ma journée de travail comme je le voulais.  Je me suis investie rapidement et totalement. De même, je me suis adaptée tellement vite que des collègues disaient qu’ils avaient l’impression que je faisais partie de l’équipe depuis des années.

UNE NOUVELLE PAGE DE MA CARRIÈRE

Parallèlement, je me suis mariée. Pause maternité. Le fait de se retirer du monde professionnel pendant quelques mois et de se consacrer à sa vie familiale, il n’y a pas mieux pour se poser des questions existentielles et se remettre en question.

Le jour où je suis tombée enceinte pour la seconde fois, je me suis rendue à l’évidence : j’avais envie de profiter de mon bébé à 100%. M’en occuper par moi-même, le voir grandir, sans que cela soit une autre personne qui en profite à ma place comme pour mon premier enfant.

Me voilà partie pour un congé parental. Et pour une remise en question générale. Qu’est-ce que je savais faire de mieux ? Quelles étaient mes compétences ? Dans quoi je me sentais le plus à l’aise ? Je me posais beaucoup de questions. En même temps, je m’étais remise à l’écriture de mon autobiographie (ça c’est une autre longue histoire).

Et, puis il y a eu ce jour où je suis tombée sur l’annonce d’une journée organisée pour des femmes porteurs de projets, qui ont envie d’entreprendre ou qui sont déjà entrepreneures.

Tiens, intéressant…. et si j’y allais, histoire de voir ?

Et me voilà plongée dans un autre monde. Un milieu dont je ne soupçonnais même pas l’existence. C’est comme si je débarquais d’une autre planète, j’entendais pour la première fois les termes « business plan », « buyer persona », « web marketing », « storytelling », « CRM », « mompreneur » et bien d’autres.

Je rencontre de nombreuses femmes dans la même situation que la mienne qui désirent se reconvertir et faire ce qu’elles ont toujours voulu faire et n’ont pas pu faire. Wouahhhhh !!! Je ne suis donc pas seule dans cette démarche. L’impression d’embarquer dans un mouvement en marche, une révolution pour les femmes. Sensation étrange qui me booste à poursuivre sur ma lancée et à vouloir en savoir davantage.

Ce même jour, lors de la pause déjeuner, je fais la connaissance de deux entrepreneures basées en Guadeloupe, en vacances sur la métropole et qui profite pour rencontrer des femmes comme elles et élargir leur réseau professionnel. 

Deux femmes remarquables et très professionnelles dans leur domaine : l’une coach business, et l’autre mentor en stratégie d’entreprise. Et à côté de cela, elles ont de nombreuses casquettes comme ambassadrice, fondatrice de plusieurs sociétés… et maman. 

Et, au fil de la discussion, j’explique que j’ai plusieurs idées de projet et que je ne sais pas quoi faire finalement. Elles m’expliquent en fait que je fais partie des multi potentiels, comme elles et comme de nombreuses personnes. Kézako ?

Tu sais, c’est quand tu as plein d’idées, plein d’envies, plein de passions, une grande curiosité… et tu as du mal à te mettre à 100% focus sur une seule chose.  C’est également être incapable de s’enfermer dans un domaine, une voie, ou faire le même métier pendant 20 ans ! En fait, les personnes concernées ont besoin d’exploration, de découverte, de connecter différents domaines, de suivre différentes passions…

Et donc, ces deux entrepreneures me disent que le mieux à faire est de mettre et concentrer la majorité de mon énergie sur un projet principal. Ça va être juste un projet ! Pas un engagement à vie mais un projet qui va occuper la majorité de mon temps, de mon énergie et de mon argent.

De le faire à fond, aller jusqu’au bout, et seulement après je pourrai passer à un autre projet principal. Et avec ce projet, je peux m’accorder un ou deux projets secondaires pour nourrir ma créativité, ma curiosité, mon désir d’apprendre. Le tout avec une bonne organisation, une discipline tout en restant focus.

Je peux surtout faire des ponts et des relations entre mes projets, et ça c’est génial.

Au final, discuter avec elles m’a aidé à me mettre sur le bon focus, clarifier ma mission, remettre de la clarté dans toutes les idées et projets que j’avais alors.

Alors, je me lance dans les recherches sur la création d’entreprise, le statut d’auto-entrepreneur, je participe à des brunchs business de femmes ambitieuses, je réactive mon compte Facebook et intègre des groupes de femmes entrepreneures. Je commence à noter ce que je veux faire et j’essaie d’établir une jointure entre chaque idée, à réfléchir sur le modèle économique de mon futur business. Petit à petit, j’avance vers la mise en place de mon business. Et c’est réjouissant.

ENTREPRENDRE : UNE REVELATION

Fin de mon congé parental. Je reprends mon activité. Durant mon absence, grosse restructuration entre les services, le personnel, les activités. Je me retrouve avec une nouvelle équipe managériale et la grosse majorité de mes collègues qui a muté ailleurs ou est partie à la retraite. Une grosse diminution de mes activités et je ne tarde pas à commencer à m’ennuyer. 

Je me vois proposer une nouvelle mission d’Assistante dans un autre service. Pourquoi pas ? Nouvelle exploration, nouvelle découverte, nouvelles personnes et nouveau challenge. Je suis partante. 

Parallèlement, je n’ai pas oublié mon projet de business : Assistante Virtuelle. J’y travaille et avance lentement mais sûrement. Je me renseigne également sur la possibilité de cumuler les statuts de salarié et d’auto-entrepreneur en attendant d’être à 100% entrepreneure. Cela est tout à fait possible quand on rêve de commencer une nouvelle activité, sans pour autant perdre les avantages de son contrat de travail actuel.

Toutefois, je me devais de respecter certaines conditions particulières à ma fonction principale, comme en informer ma hiérarchie et le devoir de loyauté envers mon employeur.

C’est parti pour la création d’entreprise, je fais ma demande ! Ouf, la machine était enfin lancée !

J’ai obtenu l’autorisation de cumuler mon emploi avec une activité non salariée en tant qu’auto-entrepreneure avec une notice d’information qui me rappelle les obligations et restrictions qui s’imposent à moi dans ce cadre.

Sans oublier qu’un manquement à ces dispositions est susceptible d’entraîner le déclenchement d’une procédure disciplinaire à mon encontre.

Conjuguer vie privée et vie professionnelle, être femme, épouse, mère de famille, salariée consciencieuse et entrepreneure est un vrai défi qui s’impose à moi chaque jour.

Mais… j’ai osé le faire !

Tu rêves d’être cette femme et cette mère qui prend soin de sa famille et qui ne renie pas ses valeurs ?

Mais…

Il te manque un petit quelque chose pour être pleinement épanouie ?

Un petit quelque chose qui te permettrait de vivre ta vie de maman et/ou de femme au foyer tout en te sentant utile et reconnue autrement que pour ton rôle de mère ?

Aujourd’hui, je sais que j’ai trouvé ce petit quelque chose qui me manquait.

Je suis une maman (pas encore complètement au foyer mais en télétravail au moment où j’écris cet article) qui travaille et qui aime ce qu’elle fait.

Je ne te dirais pas que c’est facile tous les jours, mais aujourd’hui, je suis fière d’avoir eu le courage, de m’être fait confiance et surtout, d’avoir osé… sortir de ma zone de confort.

J’ai démarré mon aventure entrepreneuriale en créant A.B.A.G (Assistance Bureautique Administrative et Gestion). 

Assistante de métier, j’ai décidé de mettre mes compétences au service des entrepreneurs, TPE/PME, travailleurs indépendants, professions libérales, commerçants.

Je suis vraiment motivée pour ce nouveau challenge !

Je me forme constamment afin d’apporter le meilleur à mes clients.

J’ai envie que toutes les mamans qui hésitent à se lancer prennent conscience que sur le net, tout est possible (ou presque) !

Chaque femme est différente.

Là où certaines préféreront travailler, d’autres privilégieront leur vie de famille. Et puis, il y a d’autres femmes qui, comme moi, ont besoin de travailler et de partager des moments forts avec leurs enfants pour être heureuses.

Et ces femmes-là, ne devraient pas se sentir coupables de vouloir prendre du temps pour elles. On peut devenir une femme épanouie sans quitter son cocon familial.

Bien entendu, cela demande quelques sacrifices. Mais, il vaut mieux sacrifier une partie de son temps pour un travail qui nous épanouie, pour que les moments en famille soient plus qualitatifs (parce que l’on se sent bien), n’est-ce-pas ?
Sans passer pour une égoïste, on a besoin d’être heureuse pour pouvoir offrir le meilleur de soi à ses proches.

J’AI OSE LE FAIRE !

Peut-être que toi aussi tu as ce désir, cette envie de te lancer dans l’aventure entrepreneuriale et que tu hésites. J’aime bien cette phrase que j’ai lu en quelque part et qui dit ceci : « Ne commencez pas demain. Mais aujourd’hui. C’est le meilleur jour pour le faire. »

Et si tu t’es lancée dans l’aventure entrepreneuriale et que :

  • Tu as besoin d’un soutien administratif,
  • Tu travailles seule et que tu n’aimes pas l’administratif, la création de visuels, la rédaction…
  • Il y a des tâches que tu aimes moins, que tu ne maîtrises pas ou dans lesquelles tu as l’impression de perdre du temps
  • Ou tout simplement tu souhaites élargir ton réseau professionnel par le biais d’un « partenariat », (cela pourrait être intéressant d’avoir des profils complémentaires, s’adressant à la même cible).

Alors, n’hésites pas à consulter mon site internet : https://aba-gestion.com pour en savoir plus et à me contacter : contact@aba-gestion.com

Toi aussi, ose le faire !

A bientôt !

Valérie

Témoignage maman entrepreuneuse

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